Variations sur le thème de l’amour obsessionnel, le ton de Crimes passionnels s’apparente parfois à l’enquête policière, parfois au journal intime.

Semblable à l’image photographique, le corps, une fois soumis à l’épreuve de la passion, ne peut que révéler ce qu’il a enregistré ou accepter de disparaître.

Crimes passionnels imbrique le voir et le dire, la victime et le coupable, sous les couverts de la photographie et de la littérature.

1992, 96 p., ill.