«Parce que les livres ne devraient pas avoir de date de péremption»

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«Le roman par poèmes enracine son portrait kaléidoscopique, tendre et rugueux, d’un Montréal de la marge dans un foisonnement de choix visuels et typographiques étonnants, voire choquants, reproduits ici avec grand soin.»

Il est question de Travesties-kamikaze de Josée Yvon dans cet article de Dominic Tardif (Le Devoir) pour lequel il s’est notamment entretenu avec notre éditrice, Roxane Desjardins.

On le remercie d’accorder son attention (et d’y attirer la vôtre!) à ces œuvres «anciennes» qui n’ont pourtant pas, non, de date de péremption.

Lire l’article, ici.