«Fenêtre ouverte sur le grand temps et les petites choses»

L’herbe pousse et les dieux meurent vite, de François Charron, est finement décortiqué par Monique Deland dans le dernier Estuaire.

Son verdict ?

« Fidèle à elle-même, la manière Charron joue de phrases courtes – des aphorismes, diront les adeptes des formes brèves – qui font un peu l'effet d’un stroboscope tant elles se bousculent abruptement et tant leur juxtaposition en décuple les beautés. L’immense accolade que Charron donne au monde est comme un grand ciel ouvert. »

Estuaire, N˚ 175

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