Un extrait d’une critique de Suie, de Jean-Sébastien Huot, dans le numéro 172 de la revue Estuaire, par Gabrielle Giasson-Dulude.
«De livre en livre cela est beau, je reconnais dans la voix de Jean-Sébastien Huot la résistance des marges. Quand la vie se déploie dans l’œuvre romanesque ou poétique sur fond de violence – familiale autant que culturelle –, quand règnent la poudre aux yeux, la jovialité, les possibilités illimitées de boire, de manger, de se dévorer, de s’ensevelir, la voix s’exerce à entendre les restes.»
Gabrielle Giasson-Dulude, Estuaire, N° 172