ISBN: 978-2-920051-81-2
et quelque femme trop pleine de chair quelque part enfin
décante au
travers des racines rouges de sa toison le
fruit incarnat d’une eau vive de feu un jour si
lourde liliale lactée le long de sa
bouche basse (car il est dit que toute femme mûrit le
cri originel et qu’elle toute chair
chante) ô porte première sur le monde or
Coll. «Lecture en vélocipède», n° 14
1975, 104 p., ill.