Tout ce que nous avons vu / Châtelaine

«À découvrir absolument.»

Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, pour le magazine Châtelaine, nous exhorte de plonger sans attendre dans Tout ce que nous avons vu, la première traduction en français de la poésie d’Anne Michaels.

«Avec une douloureuse intensité, Michaels interroge les limites de l’amour et contemple le moment tragique où le désir est tenu de se transformer en deuil. Ses mots toujours justes oscillent entre sobriété et passion pour explorer l’immensité du gouffre qui unit deux êtres qui s’aiment.»

L’article complet, par ici.