«Chiens, mourir, nuages»

Sébastien Dulude signe une critique de L’herbe pousse et les dieux meurent vite de François Charron dans le plus récent numéro de Lettres québécoises. 

«On se réjouit encore davantage de ce que François Charron, dans une épiphanie émotive palpable, dirige notre regard vers des micro-événements avec une humanité tour à tour tendre et cruelle, affectueuse ou perverse, qui bouscule de page en page. La juxtaposition de scènes comme celle d’un chien qui pleure devant son bol, avec le spectacle de l’immensité de la permanence de la mort, du sort des nuages ou de l’insaisissabilité de l’eau rend formidablement compte du mystère effarant qui accueille nos vie sans nous fournir de réponses.»

Sébastien Dulude, Lettres québécoises, n˚ 171